Ce sont des ingrédients d’origine végétale à forte
valeur ajoutée
sources d’amidon, protéines, fibres & minéraux
aux propriétés nutritionnelles & fonctionnelles ;
« des graines pour nourrir l’avenir,
2016, année internationale des légumineuses »
http://www.fao.org/pulses-2016/fr/
Légumineuses
ou protéagineuses cultivées pour leurs graines
&
destinées à l’alimentation humaine (pois & féveroles).
Légumineuses
fourragères dédiées à l’alimentation
animale,
consommées en graines (pois protéagineux)
ou en fourrage (trèfle, luzerne …)
Plus-value
protéique
pour une alimentation durable
Pois,
féveroles sont des matières premières
riches en protéines & en énergie.
Destinées à la
consommation humaine ;
Féverole
En Egypte ou au Maghreb,
la
graine est consommée fraîche ou en légume sec,
soit
en grain sec entier (le « foul ») ou en purée
(« les févettes »)
soit
en semoule ou farine (pour les « falafels »)
destinées
aux filières d’alimentation animale en
France & en Europe (exportation) ;
correspondent à un besoin actuel fort d’approvisionnement
des élevages
en énergie (amidon) & protéines ;
Féveroles
Les
animaux d’élevage, les ruminants
(bovins, moutons, caprins),
les
porcs & les volailles
en sont de grands consommateurs.
Ces légumineuses sont en compétition avec les protéines importées ;
répondant à l’émergence
de débouchés à plus
forte valeur ajoutée :
de
nouvelles valorisations du pois, féveroles (farines de
protéines)
en
alimentation humaine & ingrédients agroalimentaires (aliments
composés)
ou alimentation animale (alimentation
des saumons) ;
à
la fabrication d’aliments de bonne valeur nutritionnelle.
Ces matières premières de l’industrie
agroalimentaire
sont fractionnées sous forme de farines,
de concentrés ou d’isolés protéiques ou matière
protéique végétale (MPV).
Leurs propriétés fonctionnelles apportent
une texturation,
une meilleure conservation & bonifie la perception en bouche.
Ces « Matières Protéiques Végétales
(MPV) sont utilisées
dans les produits céréaliers, en boulangerie, charcuterie,
dans les plats préparés & les aliments diététiques
augmentant les qualités organoleptiques de ces produits
leur goût, odeur & couleur, leur texture & consistance,
leur apparence.
Plus-value
agro-écologique
pour la transition alimentaire
Avec
un faible impact carboné,
les légumineuses réduisent les émissions de GES
(1*)
&
participent à l’enrichissement des sols
en éléments minéraux (azote, phosphore) restitués
aux cultures suivantes ;
contribuent à l’augmentation des rendements dans la rotation culturale ;
interviennent pour une agriculture durable & responsable.
(1*)
incluses dans une rotation des cultures,
les
légumineuse diminuent de 14 %
les émissions
de GES, source INRA.
Plantes
fixatrices de l’azote atmosphérique : (2*)
grâce à des bactéries qu’elles « nourrissent & hébergent »
(entretenant ainsi une relation symbiotique),
les protéagineuses fixent dans leurs racines l’azote de
l’air ;
elles
favorisent ainsi une entrée d’azote atmosphérique :
elles
sont une voie originale
de
l’entrée de l’azote dans les systèmes de
production.
Une
augmentation des surfaces en légumineuses
permet une réduction des apports d’azote
&
une baisse considérable des émissions de GES.
(2*) « l’azote :
essentiel à la croissance
des végétaux ;
participe à la synthèse des acides nucléiques & des
protéines
(élément de base pour la construction des protéines par
le végétal);
est apporté par la fertilisation organique, naturelle
& la fixation symbiotique de N2 (l’azote de l’air fixé par
protéagineux)
Glossaire Cyclalys »
Plantes pièges à nitrate :
comme toutes autres espèces cultivées,
les légumineuses assimilent également l’azote minéral
du sol par les racines ;
privilégiant cette voie en cas de forte disponibilités
d’azote dans le sol,
elles se comportent comme des pièges à nitrate.
Pois & féveroles n’ont pas besoin d’apport d’engrais azotés
pour
se développer ;
leur culture en association avec les céréales facilite la gestion des adventices ;
Plantes
de service,
pois & féveroles
répondent aux besoins d’autonomie protéique des élevages ;
elles
participent à la préservation de la biodiversité :
sont vecteur de diversification & d’innovation.
Cultures aux valeurs nutritionnelles bénéfiques pour la santé humaine ;
Aliments
riches en protéines très digestibles, en amidons,
en fibres & composés
bioactifs ;
pauvres
en matière grasse,
apportent
des acides aminés essentiels ;
Protègent des risques d’obésité, de diabète,
de maladies cardio-vasculaires ;
Contribuent à davantage d’autonomie protéique pour
les élevages,
réduisant les coûts économiques & environnementaux
de transport des produits
&
renforçant la traçabilité ;
Empreinte
environnementale des protéines de légumineuse
plus
favorables que celle des protéines animales ;
Inscrites, par la Politique Agricole Commune (PAC),
sur
la liste des « surfaces d’intérêt écologique » ;
les
agriculteurs doivent leur attribuer 7 % de leurs terres ;
Présentent un intérêt agro-écologique à l’échelle
de la rotation ou de l’association,
dans
la gestion de l’azote, la protection des cultures ;
Participent aux enjeux de la transition agro-écologique ;
Réduisent la dépendance protéique de la France aux importations de soja.
Favoriser l’autonomie protéique (limiter les importations) à l’échelle du territoire.
Réduire les impacts environnementaux du transport des aliments.
Faciliter le contrôle de la traçabilité des produits.
Innover & créer des
partenariats avec les industries agro-alimentaires
qui explorent les protéagineux à haut valeur énergétique & protéique
comme ingrédients nutritionnels et / ou fonctionnels ;
Les
industriels qui
transforment la matière première végétale
pour fabriquer de l’amidon de pois (gélifiant)
ou de la protéine de pois pour ses qualités & bienfaits
nutritionnels,
une solution économique & durable pour gérer la transition
alimentaire.
En bref,
La culture des protéagineux
exige moins de terres cultivées
moins d’engrais
moins d’eau & d’énergie
&
génère moins d’émission de GES
que la production de protéines animales.
Une composante écologique fondamentale,
un plus
pour renforcer
la montée en puissance
du végétarisme
sinon du flexitarisme.
Destinée à une
transformation en usine pour obtenir du sucre,
dans les sucreries-distilleries et raffineries de sucre
principalement à des fins alimentaires,
pour
des usages industriels, (1*)
pour
la production de bioéthanol :
filières de bio-carburant de première & deuxième
générations,
pour la production d’alcool blanc
pour l’export. (2*)
(1*) Cinq
groupes industriels soit 25 sucreries
assurent
la transformation
de
cette plante
sucrière :
Groupe Cristal Union
Saint-Louis Sucre
soit en Normandie :
(usine
du Goupe Saint-Louis)
http://www.saintlouis-sucre.com/fr/etrepagny-30-fr/
http://www.saintlouis-sucre.com/fr/cagny-28-fr/
(usine du Groupe Cristal Union)http://www.fontaine-le-dun.fr/sucrerie.php
(2*) « Sucre
Océane,
filiale des groupes SHGT
& Euroports viennent
d’inaugurer
leurs nouvelles unités
de stockage
& traitement du sucre au
Havre,
anticipant sur l’ouverture à l’export
du marché européen du sucre.
«
Rappel sur la levée des quotas sucriers
Le 11er octobre 2017, l’Organisation Commune de Marché (OCM)
a supprimé les quotas qui encadraient la politique sucrière
de l’Europe.
Ces quotas avaient été mis en place dans le cadre du Traité de
Rome signé en 1957
par les états membres, de même que la régulation
de la production
et des aides de financements pour développer la production et
les exportations »
De
la betterave sucrière fraîche,
on extrait du sucre,
les co-produits étant les pulpes humides & la mélasse.
« Une tonne de betterave fraîche
produit 160 kg de sucre
500 kg de pulpes humides
38 kg de mélasse »
Riches
en vitamines, protéines & minéraux,
chargées d’un sucre résiduel,
les
pulpes sont utilisées en alimentation animale ;
aliments à forte
valeur énergétique appréciés
par les ruminants,
les
pulpes sont utilisées fraîches, sur-pressées
ou déshydratées.
Produit
final non cristallisé en sucrerie,
la
mélasse (matière visqueuse & très colorée)
est
support de fermentation pour la production d’alcool, de levures ;
elle entre dans la production d’aliments composés pour les animaux.
La
production sucrière de betterave est régie par un Règlement
sucre
en cohérence avec la politique agricole commune (PAC)
&
les accords de l’OMC (Organisation Mondiale du Commerce).
https://www.wto.org/indexfr.htm
Selon
l’expérience & le savoir-faire d’Agri-Bio-Cycle,
«
la betterave profite du réchauffement climatique :
les semis peuvent s’effectuer plus tôt favorisant un
cycle cultural plus long.
Le
priming (pré-germination) & l’enrobage
de la semence (1*)
permettent des levées plus rapides & plus homogènes » précise
Guillaume Marie.
Grâce à la modernisation des techniques
&
des équipements de récolte d’Agri-Bio-Cycle,
la tare terre est réduite :
améliorant le travail en usine,
(supprimant le besoin de nettoyage et de gestion des produits résiduaires),
économisant les coûts
de transport
(diminuant la charge inutile)
(1*) Enrobage : la semence est encapsulée
par
application d’argile, de farine de bois.
Circuit
court & logistique
Au
bénéfice d’un rayon d’approvisionnement
court (3 sucreries en Normandie)
facilitant les modalités logistiques
Agri-Bio-Cycle accueille les camions spécialisés
&
facilite l’enlèvement des tas de betteraves ;
une
aire de stockage adaptée protégeant les tas de betterave
contre toutes probabilité d’échauffement ou fermentations
est mise en place par la Sucrerie avec le Syndicat Betteravier.
http://www.cgb-france.fr/les-syndicats-betteraviers/coordonnees-des-syndicats/syndicat-betteravier-de-leure/
Agri-Bio-Cycle
ajuste sa date de récolte
à
la date contractuelle d’enlèvement
pour limiter les problèmes de conservation.
Garantie
de qualité & Traçabilité
Agri-Bio-Cycle atteste
une garantie de sécurité sanitaire,
une garantie de traçabilité & qualité de production :
« qualification détaillée de la matière,
poids, tare, teneur en sucre »
selon la législation française
&
la Direction générale de la concurrence, de la consommation
et de la répression des fraudes
https://www.economie.gouv.fr/dgccrf
Filière céréalière :
Agri-Bio-Cycle garantit la régularité des
rendements
&
répond aux exigences qualitatives des différents marchés,
l’alimentation humaine & animale,
les débouchés industriels.
L’offre d’ « Agri-Bio-Cycle »
Pour
ces Céréales à paille : blé,
orge
pour son Maïs ensilage,
Agri-Bio-Cycle gère :
-
Les aléas (conditions
de culture & de
pollinisation, variations climatiques,
restriction
d’irrigation, structure des sols & présence
des bioagresseurs)
& les états de croissance ;
- La constance & homogénéité des récoltes (en quantité & qualité) ;
- Les fluctuations des prix du marché
& la concurrence forte sur le marché international ;
- Un enjeu environnemental : produire autrement ;
- Une réalité sociétale : augmentation de la demande en protéines.
Destination
de la production céréalière
Approvisionner nos clients de proximité
&
ventes vers l’Union Européenne
Collecteurs-transporteurs,
collecteurs de céréales
Silos portuaires
Les négociants.
Valorisation
-
Utilisations humaines & industrielles domestiques :
Panification, meunerie-semoulerie, amidonnerie, glutennerie, malterie ;
Biscotterie, biscuiterie & pâtisserie industrielles ;
Semences.
- Alimentation animale : fabricants d’aliments du bétail (FAB)
à
partir des « drèches » des céréales.
– Alcool, biocarburants
« Les utilisations de blé sur le marché intérieur
français
devraient peu varier par rapport à l’an dernier,
notamment dans le secteur de l’alimentation humaine
(meunerie, boulangerie, biscotterie).
En revanche, FranceAgriMer prévoit une diminution des utilisations
par les fabricants d’aliments du bétail français à 5,3
millions de tonnes,
en raison de la bonne qualité des blés 2017
qui devrait conduire à privilégier les utilisations en
alimentation humaine. »
Qualités
particulières
Blé : forte teneur en protéines de ses grains.
Diversité variétale
Blé : une diversité variétale répartie
entre
le blé tendre donne de la farine
(pain, biscottes, biscuits, gâteaux, pizzas…)
les blés fourragers.
Déclinaisons
Le
blé complet (totalité du grain de blé sans
le germe)
conserve tous ses éléments nutritifs
Les
flocons de blé entrent dans la gamme très prisée
des céréales du petit-déjeuner ;
Le
seitan (gluten de blé pétrit auquel on a enlevé l’amidon)
appelé « protéine végétale »
entrant dans la sauce de soja, tamari ou shoyou, algues kombu.
Destinations
Le blé est destiné à l’alimentation humaine & animale,
à
la meunerie & panification, à la biscuiterie, l’amidonnerie-glutennerie,
à
la fabrication de bioéthanol.
Orge : Céréales de printemps ou d’hiver ;
Orge fourragère & brassicole
Présentation
Appartient à la famille de plantes herbacées formant des épis :
les
graminées à paille ;
Source d’énergie : riche en protéines, fibres, éléments minéraux, vitamines ;
Nourrissante : son grain (le
son, l’endosperme & le germe)
décortiqué ou émondé (orge
mondée) conserve tous ses éléments nutritifs.
Intérêts
agronomiques
Plante annuelle, à croissance rapide ;
Inscrite dans les rotations culturales,
elle restitue au sol, l’azote stocké au moment de sa croissance.
Valorisations
destination : Orge fourragère
nourriture du bétail ;
consommée sous forme de grains, de fourrage vert ou de fourrage
sec (paille)
destination
Orge brassicole (les plus gros grains), orge
de qualité supérieure
pour
les malteurs / brasseurs, malteries d’orge,
l’industrie du malt & ses dérivés
(bière & whisky, alcool distillé, sirop de malt, lait
malté, arômes)
destinations : pour l’alimentation
humaine
Orge perlée (sans ses enveloppes & son germe)
Orge concassée (graines grillées & légèrement écrasées)
Flocons d’orge (l’orge entière est étuvée,
laminée & séchée)
Germes
Grains moulus (Farine) : pour la fabrication de pain & pâtisserie
Sirop d’orge : confiseries
Autre destination
Paille
= litière pour les animaux,
= biomasse pour la méthanisation
Maïs grain & Maïs ensilage, Maïs
biomasse
Première céréale produite au monde,
Ressource de base pour l’alimentation humaine,
Base de l’alimentation animale,
consommé en plante entière
par les Limousines & Charolaises d’Agri-Bio-Cycle.
Maïs ensilage ou maïs fourrager ou denté,
grains
humides ou séchés & broyés :
pour l’alimentation animale ;
Maïs
biomasse (variété spécifique) :
source
d’énergie renouvelable
pour
la production de biogaz par méthanisation
(Agri-Bio-Energie & VitaliGaz)
pour
la fabrication de bioéthanol par
fermentation
de
l’amidon
du grain.
Les
co-produits ou drèches de distillerie
sont
utilisés
dans l’alimentation animale.
Autres Valorisations
Transformation du maïs grain en amidon
pour
la fabrication de biomatériaux, de bioplastiques,
des
sacs ou matériaux biodégradables
(couche-culotte,
vaisselle jetable,
sacs de caisse,
capsules compatibles
Nespresso) ;
de
feuilles de papier, cartons ondulés, de colle & lessive ;
comme
additif dans les peintures
(gélifiant & stabilisateur
d’émulsion) ;
comme
excipient, liant ou principe actif
dans
l’industrie pharmaceutique & cosmétique ;
molécules pour la chimie du végétal.
La
rafle (partie centrale de l’épi de maïs)
entre
dans l’isolation thermique & phonique des bâtis ;
Marchés
Ventes vers l’Union Européenne
Industrie agro-alimentaire
Amidonnerie, semoulerie & distillerie
Filières agro-industrielles, chimie verte, industrie papetière, cartons
Pharmacie
Éthanolerie, bio-raffinerie
Fabricants d’Aliments du Bétail (FAB)
Collecteurs de céréales
Atouts
de
cette filière céréalière
Réduction des importations de pétrole
et
de protéines pour l’alimentation animale.
Réduction du
déficit commercial français
grâce au développement de la filière bioénergies
(biométhane, bioéthanol)
Réduction des émissions
de CO2 & GES,
en
faveur du changement climatique
Valorisations riches,
diversifiées & novatrices
en
biomolécules, produits biosourcés ou agro-matériaux
d’une production d’avenir :
les
cultures végétales
d’Agri-Bio-Cycle.
Oléagineux (colza, lin)
Plantes dont les graines ou les fruits
sont riches en protéines & matières grasses.
Plantes au potentiel nutritionnel
aux propriétés organoleptiques & technologiques intéressantes
pour les nouvelles applications
Colza : Croisement naturel
entre le chou & la navette ;
Plante annuelle
aux graines riches en huile ;
Production boostée
par une demande croissante en diester.
Le
colza, semé à la fin de l’été,
absorbe l’azote & interrompt le cycle des adventices & maladies
des céréales.
Il complète l’apport de nutriments & fertilisants produits
par « Métha-Cycle.
Valorisation des graines d’oléagineux,
un enjeu alimentaire & énergétique
Les débouchés des huiles d’oléagineux
sont en premier lieu l’alimentation humaine puis les débouchés
industriels
avec pour point fort le développement du diester & de la chimie
végétale.
Les
tourteaux produits à partir de la trituration des graines
d’oléagineux
sont en progression forte : ils sont utilisés pour l’alimentation
animale.
- Huiles alimentaires
Débouchés
des graines produites : fabrication d’huiles
végétales,
valorisation principale des graines de colza;
Huiles
raffinées à usages
alimentaires
(destination exclusive pour l’huile de tournesol)
huiles riches en Omega 3 (acides alpha-linoléniques)
& Omega
6 (acide linoléique)
aux
propriétés limitant les risques cardio-vasculaires,
d’obésité
& de
cancer
& participant
au maintien des cellules nerveuses.
Débouchés
de l’extraction des protéines végétales :
industrie alimentaire
pour
la consommation humaine & animale.
- Energie
Huiles
de colza semi-raffinées à usages industrielles :
biodiesel
ou diester, biocarburants de première génération,
production
d’agro-carburants.
– Chimie verte :
valorisation
accrue vers la chimie du végétal
Débouchés non alimentaires des huiles végétales & leurs
dérivés,
sources
d’innovation en chimie verte :
solvants,
lubrifiants, émollients
ou tensioactifs,
les
huiles de colza transformées
(esters méthyliques, alcools & acides gras)
entrent
dans la composition des savons & mousse à raser,
produits
cosmétiques (crèmes, rouges à lèvre),
produits d’entretien ;
dans
les produits industriels biodégradables & non écotoxiques :
détergents, biolubrifiants & fluidifiants
pour liants hydrauliques, plastifiants
grâce à l’acide éthylénique présent
dans l’huile de colza.
Débouchés dans l’alimentation
animale des tourteaux
(coproduits de la trituration)
filière
de produits animaux (nourriture garantie sans OGM)
« Premier consommateur de tourteaux de l’UE,
la France produit 1,2 millions de tonnes de tourteaux de colza
soit
26 % des besoins de son élevage,
le
reste étant importé ».
Agri-Bio-Cycle :
Etre
force d’innovation & de
proposition
Les multiples potentialités d’une production particulière :
le lin
&
ses acteurs industriels concernés.
Démarche éco-responsable
d’Agri-Bio-Cycle
– assurer
la production de matières riches
en
protéines françaises
&
sécuriser l’approvisionnement
des industriels de l’agro-alimentaire (alimentation humaine & animale),
de
la filière biodiesel d’énergie renouvelable,
contribuant
ainsi à l’autonomie protéique de la région,
un
enjeu économique au profit du territoire.
– répondre aux besoins croissant en huile & protéines,
(population en forte augmentation + population vieillissante),
à une
meilleure alimentation,
(changement de comportements alimentaires)
aux recherches nutritionnelles,
aux
nouvelles applications de valorisation végétale
un
enjeu social & sociétal.
– développer un partenariat dynamique & collaboratif
avec
les bioraffineries de transformation des oléagineux sur
le territoire
&
renforcer les valorisations multiples des oléagineux (colza & lin) :
développement de polymères biosourcés,
de
biomolécules & bioénergies renouvelables
sans concurrence avec les usages alimentaires.
– réduire la dépendance au carbone fossile
par
la production d’énergies renouvelables
(Agri-Bio-Energie & VitaliGaz)
&
contribuer au développement de la chimie végétale
afin
de préserver la planète
&
améliorer le bilan écologique de l’ensemble de la
filière
(réduction
de GES),
un enjeu environnemental.
– assurer
la qualité, la sécurité sanitaire
& la
traçabilité des plantes
un
enjeu de santé publique.
– s’inscrire sur un marché des protéines
en forte expansion tout
en respectant
une
démarche éco-responsable d’agriculture
durable.
Atouts
des cultures de plantes
riches en huiles & protéines :
les Oléagineux
Atouts Nutritionnels & Santé des oléagineux
Riches en protéines & matières grasses
Atouts Agronomiques & environnementaux
Participent aux rotations des cultures,
aux associations oléagineux & autres espèces
avec impacts positifs agro-environnementaux :
le colza, culture piège à nitrate & relais vers les céréales ;
le lin, culture de diversification ;
Garantissent la biodiversité
&
confirment l’engagement agro-écologique d’Agri-Bio-Cycle
Atouts économiques & sociétaux
Cultures
aux débouchés source d’innovation ;
Croissance des débouchés industriels,
des opportunités nouvelles, génératrices d’emplois
&
d’ouvertures économiques pour la Région Normandie
Pomme
de terre de consommation
& Pomme de terre féculière
la pomme de terre de consommation
La pomme de terre de consommation regroupe les productions
de pomme de terre primeur ou nouvelle & de conservation.
Pommes
de terre de primeur :
« fraîchement
récoltées »,
vendues immédiatement ;
« Par
pommes de terre de primeur (ou nouvelles),
on
désigne des pommes de terre
récoltées avant leur complète maturité,
commercialisées rapidement après l’arrachage,
avant
le 1er août de chaque année,
dont
la peau peut être enlevée aisément sans
épluchage et qui sont inaptes à une longue conservation »
article 2 de l’arrêté du 3 mars 1997
relatif au commerce des pommes de terre de primeur
et des pommes de terre de conservation.
Pommes
de terre de conservation :
stockées
au froid à 5°C
pour éviter
leur germination & préserver leurs qualités
gustatives & esthétiques
destinées à la
consommation ou à la
transformation
(culture sous contrat)
valorisées
en surgelés, déshydratés,
chips, produits cuits sous vide…
vendues
par Agri-Bio-Cycle
aux
particuliers, restaurateurs, traiteurs ou collectivités ;
pommes
de terre vendues aux IAA
& destinées à la
transformation industrielle
ou à la vente pour l’alimentation
animale,
aux
entreprises chargées de l’épluchage
avant
la vente aux consommateurs ;
pommes de terre acheminées
vers une station de triage & conditionnement
sur
le territoire français ou communautaire
sur
le marché de l’export.
Avant d’être sur les étals, les pommes de terre sont
brossées, calibrées, triées,
conditionnées puis expédiées.
la pomme de terre féculière
Riche
en amidon (ou fécule), la pomme de terre féculière,
cultivée par Agri-Bio-Cycle, profite
de
l’avantage des sols profonds sur limons
de
l’exploitation agricole Agri-Bio-Cycle
(particularités
du plateau du Roumois classé parmi
les « meilleures
terres agricoles de France »)
http://www.pnr-seine-normande.com/page-le-roumois-101.html
de
surcroît,
une terre sans caillou
(les tubercules ne sont pas blessés ;
la tare-caillou est inexistante au moment du transport).
La
pomme de terre féculière profite également des
débouchés de proximité :
les industries de transformation de pommes de terre,
les
féculeries ou amidonneries implantées en Normandie.
Marchés ou les trois grandes destinations
de la pomme de terre
de consommation & féculière
- marché du frais pour la consommation humaine
– marché de la transformation industrielle pour la consommation humaine : frites, purée, chips...
– féculerie : extraction de la fécule & son
emploi
dans
l’industrie alimentaire, en cuisine, en chimie végétale
& sur le marché national & à l’export
les
clients d’Agri-Bio-Cycle
étant les consommateurs, les restaurateurs, les traiteurs ;
les industriels de l’agro-alimentaire
les industriels de la transformation
les collecteurs-transporteurs
Présence
de Lunor en Seine-Maritime,
spécialisée dans l’emballage
sous vide
de
pomme de terre http://www.lunor.fr
Pour une production durable
Agri-Bio-Cycle
s’engage à assurer
la constance de ses rendements & de la qualité de ses récoltes :
calibre recherché, absence de dégâts...
d’une parfaite conservation post-récolte (sans risques
microbiologiques)
Agri-Bio-Cycle
s’engage à répondre
aux critères de sécurité des aliments
&
de présentation des produits (aspects visuels)
correspondant à des
pratiques de production
respectueuses de la santé des hommes & de l’environnement
s’inscrivant dans les démarches du développement
durable
avec respect du cahier des charges distributeurs
pour accéder
au marché
tout en considérant les exigences de la réglementation
française
intégrant la « Certification environnementale des exploitations »
&
les règlements européens
ainsi
que les attentes sociétales : traçabilité totale,
de la production du plant à son conditionnement.
Atouts de la culture de pomme de terre
Agronomiques
Tête d’assolement, la pomme de terre féculière
préserve la diversité des productions locales ;
facilite la gestion des adventices ;
s’adapte aux conditions pédoclimatiques favorables de la Normandie ;
Economiques
Aliment à forte
valeur nutritionnelle
doublé d’un fort potentiel de valorisation durable
sur le marché alimentaire & non alimentaire
avec l’émergence des débouchés à forte valeur ajoutée de la chimie du végétal ;
Sociétaux
«La pomme de terre est en première
ligne
dans la lutte contre la faim et la pauvreté dans le monde.»
Jacques Diouf, Directeur général, FAO
Aliment de base, bon pour la santé
Autres légumes : oignons
En bref :
Les légumes
Source
d’eau,
de
minéraux & d’oligo-éléments (calcium,
potassium, fer & magnésium),
de vitamines (vitamine C & B9 (acide folique),
de
fibres ;
peu caloriques ; pauvres en glucides
légumes-tubercules & légumes-racine (pommes de terre…)
légumes-bulbes (oignons…)
légumes secs (haricots, petits pois…)
Agri-Bio-Cycle produit d’autres légumes frais
en association avec d’autres grandes cultures.
Développant une production diversifiée,
Agri-Bio-Cycle réhabilite les légumes anciens
(panais,
rutabaga, topinambours).
« L’oignon, légume-bulbeux,
à la saveur âcre & piquante, un peu sucrée ;
son bulbe se consomme cru ou cuit».
Valorisation de cette production agricole
Destinés à la
consommation en frais ou à la
transformation
(appertisation - conservation par stérilisation à la chaleur
-, surgélation…)
aux légumes frais conditionnés,
aux légumes cuits & plats préparés pasteurisés
Marché
Marché des légumes frais ;
Grossistes,
centrales d’achat ;
Entreprises
de conditionnement & de calibrage ;
Les
expéditeurs
Les
collecteurs-transporteurs